Un progrès vers une approche globale, mais peut mieux faire… On n’en est pas encore à l’affichage d’Objectifs, mais on parle de Mesures. Chaque mesure a un ou des indicateurs rattachés pour en évaluer l’efficacité, mais des Indicateurs purement quantitatifs certes un progrès… On aurait pu avoir des indicateurs Qualitatifs, satisfaction des usagers, bien être, et santé, évolution de l’émission de co2. De plus lSauf erreur de ma part la seule occurrence sans indicateur c’est … la biodiversité ! 

Le Contrat de Relance et Transition Ecologique est un acte posé pour coordonner l’action de la Métropole avec les services de l’État. Il impose que la Transition Écologique soit centrale et peut donc ainsi apporter, nous semble t il, ce qui manque au plan de relance métropolitain que nous avons adopté lors de notre précédente réunion. Et qui n’est conditionné par aucun critère particulier.

Oui il faut réactiver l’activité économique et la Métropole a un rôle essentiel à jouer, non il ne faut pas le faire dans n’importe quelle condition. C’est une formidable opportunité qu’il nous faut absolument saisir pour décider d’investissements en intégrant et respectant les principes de la transition écologique. 

Ce Contrat de Relance et Transition Ecologique, s’il impose avant chaque investissement une réflexion sur son impact environnemental à court et à long terme, sera décisif sur l’impact climatique, social et environnemental des grands chantiers à venir. 

Nous remarquons que le terme « mesures » est utilisé, où nous aurions préféré objectifs, mais celui d’indicateurs qui est est usité, nous va, lui très bien, comme vous vous en doutez. L’évaluation des politiques publiques nous semble toujours indispensable et là nous constatons une méthodologie qui va dans le bon sens et que nous voudrions voir généralisée à l’ensemble des politiques menées par la métropole. 

Un seul manque en terme d’indicateurs, celui qui concerne la biodiversité ! Nous voulons croire qu’il s’agit d’un oubli et pas d’une fatalité. 

Jean Duverger, groupe Le temps de l’écologie