La mise en place du télétravail hors période de crise est à nos yeux une très bonne chose.
Elle permet aux personnels de la mairie qui peuvent y prétendre, certainement une meilleure qualité de vie, ne serait-ce que par le temps économisé dans les déplacements domicile/travail aller/retour.
Nous aimerions que l’évaluation de cette nouvelle disposition puisse être réalisée par des indicateurs pertinents sur la qualité de vie au travail mais aussi sur l’axe environnemental, en mettant en évidence la baisse consécutive des émissions de CO2 et de la pollution que cela pourrait entraîner. Surtout si la ville assumait un rôle moteur dans ce domaine.
Un nouveau chantier est en train d’émerger, c’est celui du recours au « green code », si on veut optimiser un usage intelligent de l’informatique et d’internet. Des entreprises stéphanoises sont en pointe dans ce domaine.
Il y a là une conjonction d’acteurs et d’initiatives à fédérer.
Il ne faut pas rater l’occasion qui nous est ainsi donnée de tester sur une nouvelle disposition la quantification des effets positifs que cela peut générer. Mais aussi les corrections à apporter en cas d’évolution non satisfaisante voir insuffisante.
Ce serait un galop d’essai avant une généralisation à d’autres politiques mises en œuvre par la ville. Ce que nous rappelons avec constance et quelques espoirs … Sait on jamais,
Jean Duverger, conseiller municipal Génération Écologie du groupe Le temps de l’écologie